Uncategorized Lu dans “Aziyadé” 28 décembre 2015 Les amis sont comme les chiens : cela finit mal toujours, et le mieux est de n’en pas avoir. (PIERRE LOTI, Aziyadé) Précédent Ayla l'enfant de la terre Plus récent The Crossroads of Should and Must Vous aimerez aussi Extraits de Phèdre, de Racine 23 octobre 2018 L’épisode de la madeleine, dans La Recherche du temps perdu de Proust 12 septembre 2020